mercredi, novembre 16, 2005

Revue de presse du mercredi 16 novembre 2005

Après Le Figaro qui donnait pour titre à un article indigne il y quelques jours « Davantage de Noirs chez les émeutiers »(12/11/05), on franchit un pas de plus aujourd’hui dans la surenchère raciste et la recherche d’un bouc émissaire. Le ministre de l’emploi, Gérard Larcher, et le président du groupe UMP à l’assemblée, Bernard Accoyer, affirment qu’une des causes des « émeutes » est la polygamie... Et l’on ne parlera pas des propos d’Hélène Carrère d’Encausse à la télévision russe. Décidemment, tout cela ne sent pas très bon…
Dans Le Parisien (payant) on revient sur le thème de la discrimination positive. Peut-elle être une solution à la crise actuelle. En tout cas, on ne peut plus faire l’économie de ce débat.

Bonne Lecture...
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Libération du 16/11/05


Où va la République?
par Daniel HEMERY et Claude LIAUZU et Gilbert MEYNIER et Pierre VIDAL-NAQUET

Signataires de l'appel des historiens contre la loi du 23 février sur le rôle positif de la colonisation, nous ne pouvons pas demeurer silencieux sur des affrontements qui révèlent une crise profonde de la société et l'incapacité de la classe politique à proposer des solutions, qui suscitent une dérive xénophobe dans l'opinion. Dérive exploitée par l'extrême droite et une droite de plus en plus musclée, chassant sur les mêmes terres.
Couvre-feu ! Perquisitions ! Interdiction des rassemblements ! C'est l'état d'urgence ! Mais quelle urgence, pour quel Etat ?[…]
L'école ? La cage d'escalier nettoyée ? Les «grands frères» ? La Marseillaise pour les enfants ? Le silence de la droite comme de la gauche sur les solutions est assourdissant ! Elles ne proposent rien aux sans-papiers, aux sans-travail, aux sans-logis, à ces millions de sans-espoir que le système condamne à rester aux marges. Les forces qui se réclament de la démocratie et de la justice sociale doivent d'urgence organiser un mouvement de solidarité, affirmer l'impératif d'un changement radical des choix économiques néolibéraux qui ont conduit à l'explosion actuelle, le refus d'une ethnicisation des problèmes, la nécessité de rechercher les solutions à l'échelle mondiale.
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COURRIER : Mon fils, «délinquant supposé»...
ère d'un enfant adoptif tout ce qu'il y a plus noir (originaire du Togo, pays où les tyrans se succèdent «démocratiquement» de père en fils sous le regard bienveillant, si ce n'est complice, de l'Etat français), je ne peux que témoigner du traitement réservé à un jeune «non-blanc» en France.
Mariée, vivant à Paris, docteur en science de l'information et directrice dans une agence de publicité, je n'ai de ma vie jamais subi le moindre contrôle d'identité, alors que mon fils, mon «délinquant supposé» de fils, que d'avanies n'a-t-il supportées... Il faut dire que mon fils est un sacré délinquant : 25 ans, vivant en concubinage, un enfant, éducateur pour enfants, entraîneur (diplômé d'Etat) dans un club. Il ne vit pas en cité, gagne honorablement ­ et plutôt correctement ­ sa vie... et pourtant.
La liste est longue : fouille au corps dans le métro, à la sortie des magasins, contrôles routiers systématiques... En dix vies, je n'en subirais pas autant.[…]

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«De bons mots, mais ce ne sont que des mots»
Dans les quartiers, on approuve la fermeté de Chirac... mais on ne se fait aucune illusion sur ses annonces.
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Le Figaro du 16/11/05


Les associations pionnières approuvent le projet du chef de l'Etat
La Fédération des associations générales étudiantes (la Fage) et Unis-Cité, deux associations pionnières dans le domaine du volontariat, saluent sans réserve l'annonce du service civil vo lontaire. «Engagées pour la promotion du volontariat auprès des étudiants, la Fage et ses mille cinq cents associations étudiantes sont prêtes dès aujourd'hui à faire de l'engagement volontaire l'outil d'une véritable politique publique pour la construction de la citoyenneté», affirme son directeur, Jean-François Martins. Le jeune directeur d'Unis-Cité, Stéphen Cazade, se réjouit quant à lui que soit «enfin reconnue l'urgence de favoriser le brassage culturel et social».
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L'apprentissage n'est pas une voie de garage
Par Laurent Hénart, Ancien secrétaire d'Etat à l'Insertion professionnelle des jeunes. Député de Meurthe-et-Moselle. Adjoint au maire de Nancy.

En proposant l'accès à la formation en apprentissage dès 14 ans, le premier ministre a subi une levée de bouclier de ses opposants politiques, mais aussi des professionnels impliqués dans l'apprentissage. Les inquiétudes sont légitimes et cette disposition doit être minutieusement encadrée pour ne pas prendre le contre-pied de la politique de revalorisation de la filière apprentissage, initiée par la loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale.
Qu'une orientation vers l'apprentissage soit encore assimilée par certains à une résignation, un aveu d'échec me choque. L'apprentissage, c'est une chance pour les jeunes d'apprendre un métier, en bénéficiant d'une formation générale concrète et d'une immersion dans un milieu professionnel. Il ne signifie pas pour autant quitter l'école, pour être «mis au boulot». Il est temps de mettre fin à cette opposition franco-française entre l'école du «savoir académique», et celle du «savoir-faire».
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L'Humanité du 16/11/05



Des enfants scolarisés en voie d’expulsion
En Ille-et-Vilaine, une famille kurde est menacée d’être renvoyée en Turquie, bien que ses enfants soient scolarisés ou nés en France. L’un d’eux souffre de troubles auditifs.
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L’INVITÉE DE LA SEMAINE : Annick Madec

Sociologue à l’université de Brest

« Dans la longue histoire des classes populaires, ce sont les enfants devenus adultes qui rendent leurs parents respectables. »
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ART CONTEMPORAIN EN BANLIEUE
Une action pédagogique et tarifaire d’envergure

Le Mac-Val accueille gratuitement les enseignants et leurs élèves de la maternelle à l’université, sur réservation. D’une durée moyenne d’une heure, les visites-ateliers sont conçues pour la classe entière dès la petite section. Elles privilégient les déplacements dans le musée, la promenade, la mise en jeu des supports et des oeuvres. Les enfants sont amenés, dans un premier temps, à appréhender l’espace monumental du musée. L’approche des oeuvres est envisagée dans un second temps à travers des modes de visites qui interrogent la manière de voir, de raconter, de circuler devant elles.

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Le Parisien du 16/11/05 ( payant)



DISCRIMINATION POSITIVE
Mais c'est quoi?

Comment casser la logique de ghettos ? Les émeutes relancent le débat. Vingt-cinq ans après la création des ZEP, on s'interroge sur la discrimination positive. Des moyens plus massifs sont réclamés pour les quartiers difficiles.
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Peu à peu, la discrimination positive fait école
Ce n'est pas d'hier que la mixité sociale est la grande affaire de l'école. Lancées en 1981, les zones d'éducation prioritaires (ZEP) ont donné le premier grand coup de canif au sacro-saint principe de l'égalitarisme républicain.

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discrimination positive
D'où vient la notion de discrimination positive ? Cette notion vient des Etats-Unis où, depuis les années 1960, les administrations, les entreprises comme les universités sont tenues d'appliquer le principe de l'« affirmative action »,

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« Grandes écoles et universités

SILHOUETTE longiligne et élégante, regard pénétrant, barbe de trois jours, longs cheveux plaqués en arrière : Richard Descoings cultive un look de dandy romantique qui ne passe jamais inaperçu, tant à Sciences-po, qu'il dirige depuis près de dix ans,...
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« Il faut une loi pour changer les mentalités »
DURANT NEUF MOIS, la réalisatrice Yamina Benguigui a travaillé sur les discriminations à l'embauche, « cet apartheid invisible ».

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La Croix du 16/11/05



Les jeunes bousculent la langue française
« Wesh » (salut, ça va ?), « Wua mortel, une teuf chez oit ? C’est chan-mé bien ! » (traduction approximative : « Tu fais une fête chez toi ? C’est super ! »)… « C’est trop de la balle » (idem)… Bribes de conversation ordinaire entre lycéens ordinaires, saisies au hasard d’un coin de rue d’un quartier plutôt chic de la capitale. Ce « céfran » que parle aujourd’hui les adolescents surprend souvent leurs parents, qui ont du mal à les comprendre. Opération réussie, puisque s’ils emploient un langage codé, c’est précisément pour exclure les adultes de leur univers. Ce phénomène n’est pas nouveau et le javanais d’après-guerre choquait autant les parents d’alors. Aujourd’hui, le langage des jeunes s’inspire souvent de la langue des cités, mélange de verlan, de termes empruntés à de vieux argots français, ou aux diverses cultures qui cohabitent dans nos cités. […]
Ces nouveaux modes d’expression constituent-ils une menace pour la langue française ? Les observateurs les plus optimistes pensent que non. Les jeunes culturellement les plus favorisés feraient preuve d’une grande mobilité intellectuelle, jonglant en permanence avec ces outils et passant avec agilité d’un registre de langue à l’autre, en fonction de leur interlocuteur. Tandis qu’à l’autre bout de l’échelle sociale, l’écriture phonétique, libérée des carcans de l’orthographe, réconcilie avec l’écrit les jeunes les plus réfractaires, en les décomplexant.[…]
Mais ces nouveaux langages les éloignent encore plus de la langue qu’on leur enseigne à l’école et contribuent à propager une « culture de l’oralité » dans toutes les classes sociales (en particulier les classes moyennes), au détriment de la « culture livresque et humaniste » qui n’est quasiment plus transmise.
C’est ce que déplore Alain Bentolila, professeur de linguistique à l’université de Paris V et spécialiste de l’illettrisme. « L’écrit que pratiquent ces jeunes aujourd’hui a changé de perspective et de nature, dit-il. C’est un écrit de l’immédiateté, de la rapidité et de la connivence : réduit au minimum, il n’est destiné à être compris que par celui à qui on s’adresse. Or, la spécificité de l’écrit par rapport à l’oral est qu’il permet de communiquer en différé et sur la durée : il est arrivé dans la civilisation pour laisser des traces. »
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Les associations restent méfiantes
Malgré les 100 millions d'euros promis pour la politique de la ville, le mouvement associatif déplore les changements d'orientation constants et les délais rallongés pour obtenir les subventions. Mais la générosité des Français continue, elle, de progresser
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20 minutes du 16/11/05



Le service civil, une vieille idée qui prend de l’ampleur
La création d’un service civil volontaire par Jacques Chirac n’a pas convaincu à gauche comme à droite, beaucoup doutant de l’efficacité d’un dispositif facultatif. Au PS, l’ancien ministre de l’Intérieur Daniel Vaillant a critiqué le « manque d’ambition » du projet. Les Verts, eux, craignent « un nouveau contrat précaire pour les jeunes ».
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La mixité sociale au cœur du volontariat civil
Ils ont entr e 18 et 25 ans et, pendant neuf mois, la structure de volontariat collectif Unicités va les envoyer en équipe de sept dans diverses associations afin de travailler sur des projets de trois à six semaines. Au programme, aide aux personnes âgées, aux malades ou protection de l’environnement.
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Ouest-France du 16/11/05



Le handicap, pire des obstacles à l'emploi
Sur le marché de l'emploi, il y a pire que la discrimination raciale ou sexiste. À qualification égale, un travailleur handicapé a quinze fois moins de chance d'être recruté qu'un candidat ordinaire, selon une étude de l'Observatoire des discriminations. Son directeur, Jean-François Amadieu, explique ce scandale silencieux.

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Le Monde daté du 16/11/05



Le ministre de l'emploi fait de la polygamie une "cause possible" des violences urbaines
Le ministre délégué à l'emploi, Gérard Larcher, a estimé que la polygamie est l'une des "causes possibles" des émeutes qui ont eu lieu pendant trois semaines dans les banlieues, rapporte, mardi 15 novembre, le quotidien britannique Financial Times sur son site Internet, qui écrit que ces propos, susceptibles "d'alimenter un peu plus le débat" sur la crise des banlieues, risquent d'offenser musulmans et organisations anti-racistes.
Le ministre aurait expliqué à des journalistes étrangers que cette polygamie serait aussi l'une des causes de la discrimination raciale sur le marché du travail. Conjuguée à une famille nombreuse, elle entraînerait parfois des conduites anti-sociales chez les jeunes, qui ne pourraient plus se référer à une figure paternelle chez eux, aurait estimé M. Larcher, et cela rendrait les employeurs plus réticents à embaucher des gens issus de minorités."Puisque une partie de la société affiche ce comportement anti-social, il n'est pas étonnant que certains d'entre eux aient des difficultés à trouver du travail", a-t-il déclaré, selon le FT, "des efforts doivent être faits de part et d'autre. Si des gens ne sont pas aptes à un emploi, ils ne seront pas employés".
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Près d'une personne sur 7 dans le monde surfe sur Internet

Près de 1 milliard d’internautes soit 14,6% de la population mondiale
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Dix procédures d'expulsion ont été lancées contre des participants aux violences
Le ministre de l'intérieur Nicolas Sarkozy a annoncé, mardi 15 novembre à l'Assemblée nationale, que "dix procédures [d'expulsion] ont été engagées" contre des étrangers ayant participé aux violences urbaines. Il avait demandé la semaine dernière aux préfets d'engager des procédures d'expulsion d'étrangers qui auraient participé aux émeutes depuis le 27 octobre, "dans tous les cas où la loi le permet".
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Incendiaires et cogneurs, par Didier Peyrat
magistrat, au tribunal de grande instance de Pontoise (Val-d'Oise)

Ce qui se passe dans nos villes est un désastre. Une régression sociale : des milliards viennent de partir en fumée. La confiance, en France, est brisée. Il y aura aussi un coût politique. Mais c'est également une catastrophe théorique, un sinistre de la raison. On présente cela comme un "mini-Mai 68" des banlieues. Ou encore une "Intifada". Bref, comme un mouvement de masse contre l'injustice sociale. La méprise est complète. Ce n'est pas un mouvement de masse, ni de protestation contre les injustices : il s'agit d'un phénomène minoritaire, négatif, et qui fabrique de l'injuste.
Quelques milliers de jeunes, au maximum quinze ou vingt mille, dans toute la France, ont participé activement aux événements. Quelques dizaines par quartier. Des centaines de milliers d'autres jeunes vivent en banlieue et n'y sont pour rien. L'Insee recensait, en 2004, environ 8 millions et demi d'individus âgés de 13 à 23 ans.[…]
Ceux qui accusent "la jeunesse des banlieues" d'être responsable de ce qui est arrivé sont des falsificateurs. Ceux qui, à mots couverts ou pas, félicitent "les jeunes" de protester sont aussi dans le faux. Il y a amalgame d'un côté, contre-amalgame de l'autre. Et dans ce face-à-face de deux analyses délirantes, la raison disparaît. Mais ce à quoi on cloue le bec aussi, c'est la majorité des jeunes, la majorité des immigrés, la majorité des Français.[…]
Je voudrais dire ceci : face à des actes qui compriment nos libertés, qui creusent les inégalités et qui affaiblissent la fraternité, il faut ouvrir les yeux. Vous n'êtes pas devant un mouvement social maladroit et excessif, allant néanmoins dans le bon sens. Vous venez d'assister à une éruption du négatif. Après le 8 mars 2005, où un millier de cogneurs ont agressé dix mille lycéens en manifestation, c'est un ultime avertissement.
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Le Nouvel Obs Quotidien du 16/11/05


"La polygamie, cause des émeutes"
Le ministre délégué à l'emploi, Gérard Larcher, déclare que la polygamie est la cause de la discrimination raciale sur le marché de l'emploi, selon le site internet du Financial Times. Sur RTL, Bernard Accoyer indique que c'est "certainement l'une des causes" des violences urbaines.
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Une sélection dans les dépêches du 16/11/05



Robien: l'apprentissage à 14 ans "est bien un dispositif scolaire"
Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien a assuré mercredi que la nouvelle possibilité de partir en apprentissage dès 14 ans était "bien un dispositif scolaire" et a prôné une refonte de la carte scolaire "pour favoriser encore plus la mixité sociale".
"Evidemment, c'est une diversification du collège, évidemment les jeunes qui choisissent l'apprentissage pourront le faire à condition que ce soit réversible", a déclaré M. de Robien sur Europe 1, en évoquant des "passerelles y compris pour poursuivre ses études".
"L'apprentissage mène à tout !", a-t-il insisté, en rappelant que 90% des apprentis décrochaient "un contrat à durée indéterminée au bout d'un an".
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De Robien: l'apprentissage à 14 ans "ne remet pas en cause l'école obligatoire jusqu'à 16 ans"
Le ministre de l'Education, Gilles de Robien, a affirmé mercredi que l'ouverture de l'apprentissage à partir de 14 ans, proposé par le Premier ministre, "ne remettait pas en cause l'école obligatoire jusqu'à 16 ans".
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Grandes écoles et facs doivent aller "de l'autre côté du périph", (directeur de Sciences-Po)
Richard Descoings, le directeur de l'Institut d'études politiques de Paris (IEP-Sciences Po), suggère, dans un entretien paru mercredi dans le Parisien, que " grandes écoles et universités s'exportent de l'autre côté du périph" afin de lutter contre les discriminations.
"Est-ce qu'il ne faudrait pas que les grandes écoles, les universités s'exportent, aillent de l'autre côté du périph ?", propose le directeur de Sciences-Po dans le quotidien.

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Plan cohésion sociale : 45.000 jeunes ont des contrats "Jeunesse et sports"
Le ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative est "engagé dans le plan de cohésion sociale" par la formation et l'emploi de 45.000 jeunes bénéficiaires de contrats aidés, a indiqué mardi Hervé Savy, responsable du secteur à Limoges.
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Campagne pour promouvoir les métiers de l'industrie auprès des jeunes
Le ministre de l'Industrie, François Loos, a lancé la deuxième vague de "Avec l'industrie, mon aventure commence", une campagne à l'adresse des jeunes pour les inciter à choisir les métiers de l'industrie, a-t-on appris mercredi auprès du ministère.
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Pour en savoir plus




Le site de VousNousIls (Rubrique dépêches de l’éducation AFP)


Les dépêches AFP sur lesite Voila.fr



Le site Yahoo Actualités, rubrique éducation



La maison des enseignants



L’indispensable café pédagogique

1 commentaire:

Anonyme a dit…

bonjour Philippe W relot je fesais une recherche sur petite annonce classée gratuite et je suis tomber sur votre page que je trouve interessante . ceci m'a donne une idde de poursuivre mes recherche sur le mot Revue de presse du mercredi 16 novembre 2005 ou bien sur le mot petite annonce classée gratuite , je voudrais juste rajoute que je suis tomber sur http://www.prixdepot.com que je trouve aussi tres interessant alors visite si vous avez le temps

merci

 
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