mercredi, novembre 09, 2005

Revue de presse du mercredi 9 novembre 2005

« L'annonce de Villepin tire un trait sur les principes du collège unique et de l'école obligatoire jusqu'à 16 ans. » ; C’est ce que conclue Emmanuel Davidenkoff dans Libération à propos de l’annonce par Dominique de Villepin de l’apprentissage à 14 ans. Si 83 % des personnes interrogées par le Parisien dans un sondage paru aujourd’hui déclarent être d’accord avec cette mesure, on peut se demander si tout le monde en mesure les conséquences et le renoncement qu’une telle décision traduit. On va de fait accentuer la ségrégation scolaire en abandonnant toute ambition éducative. De plus, ne nous leurrons pas, l’apprentissage, et les entreprises qui le pratiquent, risque de ne pas accueillir à bras ouverts les jeunes issus de l’immigration. On peut même craindre que certains secteurs, leur soient, de fait, interdits.
le Figaro, quant à lui, propose de bruler les ZEP et le collège unique avec le reste. On trouvera dans ce journal, toute une série d’articles s’attaquant à la politique des ZEP avec, soyons juste, aussi une interview de thomas Piketty, demandant qu’il y ait une forte réduction des effectifs pour que les Zep marchent mieux.

Bonne Lecture...
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Libération du 09/11/05


Piégés par la République
par Didier LAPEYRONNIE et Laurent MUCCHIELLI
, 
sociologues.

[…] L'école n'est pas vécue par une partie de ces jeunes comme un instrument de promotion mais comme le lieu d'une sélection qui transforme leur destin social en autant d'humiliations personnelles. A leurs yeux, la promotion par l'école est réservée à d'autres, qui savent tirer tous les bénéfices et qui sont généralement des «Blancs» quand eux sont généralement des jeunes issus de l'immigration. Ne serait-ce pas ces mêmes «jeunes de banlieue» qui, au mois de mars dernier, dépouillaient et frappaient les lycéens venus manifester pour défendre leur école ? […]
Dans ces conditions, est-il si difficile de comprendre que cette jeunesse a avant tout besoin de reconnaissance et de dignité (le fameux «respect») ? Et lorsque l'émeute éclate et que la violence se déchaîne, est-il si difficile de comprendre qu'à côté des incendies de voitures les jeunes s'en prennent aussi aux institutions : police, transports collectifs, antennes ANPE, centres sociaux et même écoles ? Pour eux, ces services publics ne sont plus guère des instruments d'amélioration de la vie sociale et plus du tout des vecteurs d'intégration, ce sont des aides qu'ils finissent par rejeter comme de la charité, quand ce ne sont pas à leurs yeux des obstacles à franchir, voire des frontières qui les maintiennent à l'écart de la «vie normale» à laquelle ils n'osent plus rêver. Du «modèle social français», ils ne connaissent que le chômage ou l'intérim, les emplois aidés et la dépendance aux services sociaux, tout un univers «gris» protégeant de la misère mais enfermant dans la précarité et semblant n'avoir aucune issue. Cet univers est alors vécu comme un «piège» dans lequel ils survivent loin de la «vie normale» des «nantis», et dans lequel ils ont le sentiment que leur vie s'en va sans pouvoir être véritablement vécue. Ils se sentent coincés dans une «nasse» qui sert finalement à les maintenir à l'écart d'une société qui ne veut pas d'eux.
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Sarkozy s'en prend aux étrangers trublions
A l'Assemblée nationale, le ministre de l'Intérieur a demandé mercredi l'expulsion des étrangers, qu'ils aient ou pas une carte de séjour, condamnés pour leur participation aux violences urbaines.
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«Que le gouvernement s'appuie sur ceux qui connaissent le terrain»

Directeur à Bobigny, d'une salle de spectacle et d'une structure d'insertion, Marc Gore n'est pas surpris par les événements. Il dénonce l'incurie et l'inconscience du gouvernement et plaide pour un débat sur la discrimination positive à l'embauche.
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Apprentissage à 14 ans
Un virage dans la politique éducative

L'annonce de Villepin tire un trait sur les principes du collège unique et de l'école obligatoire jusqu'à 16 ans.
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Des télés plus prudentes dans la surenchère de l'insécurité
France 3 et LCI évitent désormais le «Téléthon» de la voiture brûlée.
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Le Figaro du 09/11/05


Polémique autour de l'apprentissage à 14 ans
EN AFFIRMANT son intention de ramener de 16 à 14 ans l'âge minimum pour l'apprentissage, Dominique de Villepin ouvre la porte à des débats houleux. La mesure est en effet loin d'être anodine. L'obligation scolaire jusqu'à 16 ans est inscrite dans la loi. Avant cet âge, un jeune ne peut bénéficier d'un contrat de travail. Une telle mesure suppose donc une réforme législative et une révision du Code du travail.
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Associations : quinze ans d'empilage de subventions
LES SUBVENTIONS destinées aux associations ont été «réduites» ces deux dernières années et seront «restaurées», a tranché Dominique de Villepin. Dès 2006, 100 millions d'euros supplémentaires devraient ainsi être dégagés. Réclamé par les élus locaux ces derniers jours, le rétablissement de ces fonds marque une vraie rupture dans la politique de la ville initiée par Jean-Louis Borloo à son arrivée dans ce ministère en 2002.
La Cour des comptes vient alors de publier un rapport accablant sur les programmes conduits en 2000 et 2001 sur sept sites «historiques» de la politique de la ville : Roubaix-Tourcoing dans le Nord, Mantes-la-Jolie, Clichy-sous-Bois-Montfermeil et Grigny en région parisienne, enfin Vaux-en-Velin et Vénissieux dans le Rhône et Marseille. Des quelque 372 millions d'euros de crédits du ministère de la Ville, ils en engloutissent 60%. Sans que les indicateurs sociaux ne montrent d'amélioration.
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L'échec des zones d'éducation prioritaires
ELLES n'ont que 24 ans et mériteraient pourtant un sérieux lifting. Les zones d'éducation prioritaire (ZEP) concentrées dans les banlieues ont mauvaise presse. Et pour cause : malgré les plans de relance successifs, les élèves, issus majoritairement de milieux défavorisés, restent le plus souvent à la traîne des résultats scolaires enregistrés par l'ensemble des petits Français. Ainsi, le taux de réussite au brevet n'y est que de 67%, contre une moyenne de 79%. Sévère, l'Insee affirmait même dans une étude de septembre dernier : «La mise en place des ZEP n'a eu aucun effet significatif sur la réussite des élèves
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A l'école de la République, l'ascenseur social est en panne
COLLÈGES et lycées reproduisent et prolongent les disparités sociales que l'école de la République est censée atténuer. Il n'y a jamais eu aussi peu d'enfants d'origine populaire dans les grandes écoles depuis quinze ans.
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Thomas Piketty : «Trop d'élèves par classe en ZEP»
Dans une étude réalisée en 2004, Thomas Piketty considère qu'une réduction de la taille des classes dans les établissements défavorisés aurait un effet sensible sur les résultats scolaires, tandis qu'une légère augmentation des effectifs ne pénaliserait pas les autres écoles.
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Egalité des chances, plus que discrimination positive
LA FRANCE ne met pas en oeuvre le concept de «discrimination positive» qui, au sens strict, renvoie à la discrimination sur une base ethnique ou raciale. Elle préfère l'«égalité des chances et des territoires», ce qui passe effectivement par des dispositifs spécifiques en faveur de ceux qui en ont le plus besoin.
Ce concept est au coeur de la loi Borloo de cohésion sociale. Avec par exemple les équipes et les plates-formes de réussite éducative pour accompagner les enfants et adolescents en difficulté. Ou sur le plan financier, avec la majoration de la dotation sociale urbaine (600 millions en cinq ans) et sa redistribution en faveur des communes confrontées aux problèmes les plus lourds.
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Apprentissage, la bonne idée
L'éditorial par Jean-Paul Mulot

[…]bousculer le collège unique et en finir avec le mythe de l'école obligatoire pour tous jusqu'à 16 ans. Le développement du préapprentissage à partir de 14 ans est aujourd'hui la piste la plus prometteuse des propositions du premier ministre. Elle ne résoudra pas tous les problèmes. Mais elle a le mérite d'être autrement plus concrète que la restauration des subventions aux associations de quartier.
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L'Humanité du 08/11/05 (un jour de retard)



Sous le choc, Grigny ne veut pas baisser les bras
Une école maternelle a été entièrement détruite par les flammes samedi soir. Et deux CRS ont été blessés par des tirs au fusil de chasse. Notre reportage.
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« Une circulaire qui ne règle rien »
Comment interprétez-vous la récente circulaire du ministère de l’Intérieur instituant une sorte de trêve des expulsions de jeunes sans-papiers scolarisés ? Jean-Michel Delarbre.
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EDITORIAL PAR PATRICK APEL-MULLER
Le dernier mot...

L’aveuglement délibéré des dirigeants de la droite encourage les moins lucides des jeunes de banlieue à multiplier les lieux de déprédation et d’insupportables violences.
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Ce que le budget 2006 ne fera pas pour les quartiers
Les crédits affectés seront réduits l’an prochain, favorisant partout la précarité.
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Le Parisien du 09/11/05 ( payant)



Massivement, les Français disent oui à la fermeté
Un sondage CSA indique que les Français, choqués par les violences, sont pour l'idée du couvre-feu et pour l'apprentissage dès 14 ans. Mais aussi pour que les associations de banlieue aient les moyens d'agir.
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L'apprentissage peut-il briser la spirale de l'échec scolaire ?
CHAQUE ANNÉE, le pays est renvoyé face à une triste fatalité statistique : avant l'âge légal de fin de scolarité (à 16 ans), 15 000 élèves ne mettent plus les pieds au collège, ou si rarement qu'ils en deviennent de vrais fantômes.
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« C'est la première fois que j'arrive à quelque chose »
« AU COLLÈGE, ils m'énervaient tous ! confesse Ayoub, presque 18 ans. Les profs, les élèves, les cours... ça n'allait pas du tout. » Il y a un an et demi, il décide de laisser tomber son collège de Fresnes, dans le Val-de-Marne.
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« On les traîne jusqu'en 3 e parce que la loi nous y oblige »
L'APPRENTISSAGE dès 14 ans ? Hier après-midi, peu de profs en avaient entendu parler au collège de la Grange-aux-Belles. Pas le signe d'un désintérêt, disent-ils d'emblée : « Juste un ras-le-bol face à l'empilement de mesures qui ne changent jamais rien...
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Et vous, êtes-vous favorable à l'apprentissage dès 14 ans ?
Evelyne Chassaing 54 ANS EMPLOYEE DE BANQUE TREMBLAY-EN-FRANCE (93) « Cette mesure est une bonne chose car beaucoup d'enfants s'ennuient à l'école. Ils sèchent les cours et sont livrés à eux-mêmes. Pour mon beau-fils, l'apprentissage a été une...
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La Croix du 09/11/05



Les bonnes idées de nos voisins
Dans six pays voisins de la France, des mesures concrètes et originales ont été mises en place pour désamorcer les violences dans les banlieues et favoriser l'intégration
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20 minutes du 09/11/05



Lilian Thuram tacle les propos du ministre de l’Intérieur
Les mots « racaille » et « Kärcher », le footballeur les a pris pour lui. Lors d’une conférence de presse à la veille du match France-Costa Rica, qui se joue en Martinique, Lilian Thuram a lancé hier une contre-attaque aussi inattendue que violente à propos des déclarations de Nicolas Sarkozy. « Moi aussi, j’ai grandi en banlieue, a expliqué ce symbole de la France black-blanc-beur de 1998, aujourd’hui membre du Haut Conseil de l’intégration. Quand quelqu’un dit : “Il faut nettoyer au Kärcher”... Il ne sait peut-être pas ce qu’il dit, Sarkozy. Moi, je le prends pour moi. »
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«Le problème central, c’est l’emploi»
Maryse Hédibel, Sociologue.

Les mesures annoncées vont-elles permettre de résoudre les problèmes des banlieues ?
Non, car le problème central, c’est l’emploi. Or, l’apprentissage dès 14 ans assimile l’échec scolaire aux métiers manuels. Cette mesure favorise donc la ségrégation sociale en développant les filières de relégation. Par ailleurs, les emplois aidés prévus par Villepin ne font que reprendre une politique développée depuis les années 1980 qui destine les jeunes des cités à des emplois précaires. Quant aux postes d’adultes-relais, ils risquent de prolonger la politique des grands frères, développée à la fin des années 1980 et qui favorise le communautarisme.

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Ouest-France du 09/11/05



Je défie les entreprises de nous recruter
Derrière les cités qui s'enflamment se cache un grave problème d'identité. les jeunes issus de l'immigration ont besoin de reconnaissance. Abderhamane El Khmisti, 34 ans, aîné d'une famille de onze enfants d'origine marocaine installée au Mans, témoigne.
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Le Monde daté du 09/11/05



Les violences à l'école stables, les actes racistes en diminution
La violence à l'école se maintient à un niveau élevé. Après une hausse de 12 % des violences recensées en 2003-2004, le nombre de signalements dans les collèges et les lycées publics a augmenté de 1 % en 2004-2005, selon les données recueillies par le logiciel Signa de l'éducation nationale.
Les incidents se concentrent dans un nombre limité d'établissements : 10 % des collèges et lycées signalent 50 % des actes, une proportion stable depuis trois ans. Les lycées professionnels, qui accueillent un grand nombre d'élèves en difficulté, demeurent les plus touchés. Leur situation se dégrade régulièrement depuis trois ans.
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Le Nouvel Obs Quotidien du 09/11/05


73% des Français
"pro-couvre-feu"
Les Français approuvent la mesure prise par le gouvernement de recourir au couvre-feu pour ramener le calme dans les banlieues. Selon un sondage CSA publié dans Le Parisien/Aujourd'hui en France mercredi 9 novembre, 73% se disent favorables à l'autorisation du recours au couvre-feu, tandis que 24% y sont opposés et que 3% ne se prononcent pas.
Le rétablissement du financement des associations travaillant en banlieue sur l'aide au logement et l'aide scolaire est approuvé par 89% des personnes interrogées (9% contre, 2% sans opinion).
Quant à la baisse de l'âge d'entrée en apprentissage de 16 à 14 ans, elle est soutenue par 83% (16% contre, 1% ne se prononce pas).
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Les violences vues par la presse
Retrouvez, chaque jour, toutes les revues de presse françaises et étrangères et les galeries des Unes de la presse sur les violences urbaines dans les banlieues française.
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Une sélection dans les dépêches du 09/11/05



En parler ou pas: le malaise des enseignants face aux violences urbaines.
Les professeurs semblent hésiter à introduire le débat sur les violences urbaines dans leur classe, par crainte d'envenimer la situation quand ils enseignent en zones sensibles, ou parce qu'ils estiment manquer de recul dans les zones plus tranquilles.
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Le Snes ne veut "pas diaboliser l'apprentissage"
Le Snes-FSU, principal syndicat des collèges-lycées, a assuré mercredi lors d'une conférence de presse qu'il ne voulait "pas diaboliser l'apprentissage", mais a estimé que le gouvernement "remet en cause l'école obligatoire jusqu'à 16 ans".
"On ne diabolise pas l'apprentissage. On sait que pour les jeunes il peut être une solution. Mais l'abaissement du départ en apprentissage à 14 ans signifie que l'on remet en cause l'école obligatoire jusqu'à 16 ans, c'est un bond en arrière de 50 ans", a estimé Bernard Boisseau, co-secrétaire général du Snes.
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Gilles de Robien: "l'apprentissage à 14 ans est une bonne mesure"
Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien a estimé mercredi matin lors d'une interview sur France 2 que "l'apprentissage à 14 ans est une bonne mesure, approuvée par une très grande majorité de français".
Interrogé sur la polémique née après la proposition du gouvernement d'abaisser le départ en apprentissage de 16 à 14 ans, M. de Robien a jugé qu'elle "créée polémique pour un petit nombre de personnes mais elle est approuvée par une très grande majorité de français".
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Robien: les émeutes sont un "échec de la société"
Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien a déclaré mercredi matin sur France 2, à propos des violences urbaines qui sévissent en France depuis deux semaines, qu'elles étaient "un échec de la société", et s'est demandé ce que "serait la société sans les ZEP".
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Lycéens de l'UNL condamnent l'état d'urgence et le "mépris" du gouvernement
L'Union nationale lycéenne (UNL) s'est élevée, mercredi dans un communiqué, contre l'état d'urgence décrété par le gouvernement, "mesure chargée de symboles violents et bellicistes" et a condamné son "mépris" à l'égard des jeunes. "Ce n'est pas une loi datant de la guerre d'Algérie qui apaisera la situation", a-t-elle ajouté, soulignant que "la répression systématique ne fait qu'envenimer les choses" et affirmant que "nous payons le lourd tribut d'une ghettoïsation et d'un système reproducteur d'inégalités".
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Débat passionné entre les professeurs d'un collège de Sevran et Robien
Passages de classes sans niveau requis, formation des professeurs inadaptée, carte scolaire isolant les enfants des cités... les réflexions ont fusé mercredi matin dans un collège de Seine-Saint-Denis qui recevait une visite de "solidarité" du ministre de l'Education nationale.
Gilles de Robien, qui avait souhaité "un débat sans tabou", a écouté pendant plus d'une heure les réflexions et suggestions de l'équipe éducative du collège Paul Painlevé, un collège de Sevran classé en Zone d'éducation prioritaire (ZEP), où deux salles ont été endommagées par un incendie dans la nuit de mardi à mercredi.
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Pour en savoir plus




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Le site de VousNousIls (Rubrique dépêches de l’éducation AFP)



La maison des enseignants



Les dépêches AFP-Éducation sur le site Voila.fr



Le site Yahoo Actualités, rubrique éducation

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