mercredi, mars 04, 2009

Revue de presse du mercredi 4 mars 2009

faismesdevoirs.com crée le buzz…

Il y a plein d’autres sujets concernant l’éducation qui pourraient faire l’objet d’un traitement par la presse aujourd’hui mais celui qui est traité par la quasi totalité des journaux c’est la création d’un site qui a pour nom “faismes devoirs.com”.
C’est d’abord un article dans Le Parisien qui déclenche le buzz. L’information sera ensuite reprise par les autres journaux, les radios et les télévisions.
De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’un site qui propose, comme son nom l’indique de faire les devoirs à la maison à la place des élèves. Les tarifs varient en fonction du temps passé sur les copies. La résolution d'un simple exercice est facturée 5 euros. Un exposé complexe comprenant une dizaine de pages et de quoi tenir trente minutes à l'oral coûtera 80 euros. Ce sont des étudiants des meilleures écoles qui vont faire ce travail. Ce n’est pas nouveau, d’autres sites existent déjà mais celui-ci propose, dit son créateur, du “sur-mesure”.
S’il y a une demande c’est qu’il y a un marché.
Le Monde qui y consacre son éditorial “Scandale.com rappelle à juste titre que ce genre de site se nourrit de l’anxiété des parents pour l'avenir de leurs enfants et de la peur de l'échec scolaire . Un “business" de plus en plus florissant pour ce “marché de l’angoisse”. On estime qu'un collégien ou lycéen sur six suit des cours particuliers, à la maison ou, de plus en plus, dans des entreprises de soutien scolaire, dont le chiffre d'affaires explose depuis une dizaine d'années. Au total, 40 millions d'heures de cours particuliers seraient ainsi dispensées, soit un marché annuel estimé entre 1 et 2 milliards d'euros rappelle le journal.
Xavier Darcos a été interrogé à la sortie du conseil des ministres sur ce sujet. Il a déclaré que “Le meilleur endroit pour être éduqué et pour avoir des copies corrigées, c'est l'école de la République" "Je n'encourage nullement des dispositifs payants qui permettent de rendre ces services-là. Je l'encourage si peu qu'une grande partie de la politique qui est conduite au ministère de l'éducation nationale vise à offrir gratuitement, à tous, ce que des officines privées offrent souvent en faisant payer", a-t-il ajouté. Le président de la FCPE va dans le même sens. « L'important dans un devoir, ce n'est pas la note, c'est de confronter l'élève à la difficulté, qu'il essaie de la résoudre ».

Quelques commentaires, à mon tour, sur le fond et sur le traitement médiatique de cette affaire.
Pourquoi les médias s’emparent-ils tous de ce sujet ? On pourrait dire que c’est l’illustration d’une pratique malheureusement fréquente où les médias se copient tous. Il suffit qu’un journal sorte un sujet et que la communication soit un peu provocante et racoleuse (rappelons nous de Note2be) pour que les autres journaux le reprennent. Mais si cela est vrai, ce n’est pas suffisant. Il faut s’interroger sur les raisons pour lesquelles une telle info trouve un terrain favorable pour se développer. En d’autres termes, les médias ne façonnent pas l’opinion, ils en sont aussi le reflet. Si cette affaire fait les gros titres et crée le “scandale” c’est parce qu’elle est symptomatique et qu’elle exprime une tendance lourde de l’évolution de l’école que sentent confusément les médias qui en parlent.
Sur le fond, en effet, on peut dire que c’est le symptôme de trois phénomènes liés. D’abord comme nous l’avons dit plus haut, s’il y a ce site c’est parce qu’existe un “‘marché de l’angoisse” qui est le produit de la pression qui s’exerce sur les familles. La réussite scolaire et la nécessité de l’obtention des diplômes et des bons dossiers (pour intégrer les filières sélectives) conduisent à ce type de dérive. La note devient un objectif en soi.
Ensuite c’est le symptôme de la marchandisation de l’école. Celle ci est à l’œuvre depuis plusieurs années. Un tel site, tout comme les sociétés privées de soutien scolaire conduisent à des inégalités importantes entre les familles. L’égalité des chances, qui est déjà plus un mythe qu’une réalité statistique est encore plus attaquée par ce type de “produit” au coût très élevé.
Enfin, on peut voir cela comme un signe des limites et contradictions de l’Ecole. Si ce site existe c’est aussi parce que les notes ont pris une importance démesurée et que les pratiques d’évaluation n’ont pas assez évolué. Si l’évaluation était une évaluation “formative”, si on donnait des devoirs aux élèves non pas pour les noter mais pour leur permettre de progresser, si on considérait que l’erreur fait partie des apprentissages, ce site n’aurait aucune raison d’être. Chaque enseignant sait bien aussi que quand on évalue un devoir à la maison, on évalue autant l’environnement socio-économique de l’élève, sa capacité à accéder à des ressources telles que la bibliothèque familiale, à l’ordinateur et au capital culturel de ses parents que le devoir lui même et le travail de l’élève.

Alors que faire ? Comment réagir face à ce qui est pour une bonne part une provocation de professionnels sachant manier la communication pour créer le buzz ?
Si l’on raisonne en vrai libéral partisan de l’économie de marché et de l’esprit d’entreprise il n’y a aucune raison d’interdire ce site. En revanche si Nicolas Sarkozy, met toujours au cœur de son discours la “valeur travail”, il devrait l’interdire car ce dispositif est en contradiction totale avec l’idée même d’effort. De même s’il est attaché à un principe d’égalité républicaine et de méritocratie, il doit aussi l’interdire.
On peut aussi en profiter pour réfléchir sur nos pratiques d’évaluation en tant qu’enseignants. Éviter les devoirs à la maison ? Revoir notre manière de concevoir les devoirs (comme le suggère un numéro récent des Cahiers Pédagogiques ) ? Et pourquoi pas aussi en finir avec les notes ? . On peut rêver mais ce serait un mérite paradoxal de ce type de baudruche médiatique de permettre d’amorcer une réflexion pédagogique sur la nature et les modalités de l’évaluation.

Dans Libération, un reportage sur le théâtre devenu matière obligatoire depuis septembre dans deux collèges «Ambition réussite» (ex-ZEP) de Corbeil (Essonne). Et, comme pour toutes les matières enseignées, le travail de l’élève donne lieu à une appréciation, ainsi qu’à une note sur 20. Qu’ils soient en quatrième «découverte des métiers», en troisième d’insertion, ou en sixième sans histoire, tous les élèves deSédar-Senghor et de Louise-Michel passent, depuis la rentrée, par la case atelier théâtre, baptisé «les Têtes de l’art». Dix-huit heures en tout, réparties sur trois semaines. Mais pour les classes SAS - où l’on accueille des ados aux comportements difficiles - les ateliers théâtre ont lieu toute l’année. Et les élèves qui souhaitent aller plus loin peuvent intégrer la troupe permanente Lever de rideau et monter sur scène.

Pour changer de sujet et clore cette trop longue revue de presse, signalons un article de Véronique Soulé dans Libération : Réformes Darcos et Pécresse : le recul mot à mot La journaliste revient sur les circonvolutions linguistiques ministérielles. Comment ne pas perdre la face tout en reculant avec un vocabulaire en constante évolution. La xylolalie a de beaux jours devant elle…

Bonne Lecture...
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Libération.fr du 04/03/09


Valérie Pécresse n'est pas au bout de ses peines (Blog de V.Soulé)
Valérie Pécresse serait-elle allée un peu vite en besogne ? Ce matin, AutonomeSup, l'un des quatre syndicats qui a participé aux négociations d'hier soir, a en tout cas douché l'optimisme officiel. Les discussions n'ont pas été aussi fructueuses que le ministère l'a laissé entendre, assène-t-il. Les participants se sont même quittés sur un désaccord sur un point clé, la promotion des enseignants-chercheurs.
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Réformes Darcos et Pécresse : le recul mot à mot
Retour sur les circonvolutions linguistiques ministérielles.
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Enseignants-chercheurs: Pécresse et les syndicats vers un accord ?
Après une réunion dans la nuit, un terrain d'entente a été trouvé sur les questions de l'organisation de l'emploi du temps et de l'évaluation. Reste à aboutir à un consensus sur les promotions.
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Des collégiens têtes de l’art
Deux établissements prioritaires tentent le théâtre obligatoire.
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Ambition stimulation
Les collèges «Ambition réussite» (ex-ZEP) accueillent un collégien sur vingt (contre un sur cinq il y a quatre ans). Dans ces établissements, les équipes de professeurs multiplient les occasions de stimuler leurs élèves en créant des façons différentes d’enseigner les maths, les sciences ou le français, en complément de la salle de classe.
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Le Figaro du 04/03/09


Enseignants-chercheurs : un nouveau texte satisfait les syndicats
Un seul point, celui de la promotion des enseignants, reste à négocier. Une nouvelle rencontre est prévue vendredi.
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Lancement du site FaisMesDevoirs.com
Bonheur des élèves, malheur des profs ! Créé par un ancien de l'Essec et un ancien d'HEC, le site ambitionne de fournir rapidement la solution de tous les exercices de la 6e à la terminale.
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Le Monde.fr du 04/03/09



Edito du Monde
Scandale.com

Anxiété des parents pour l'avenir de leurs enfants et peur de l'échec scolaire ont favorisé le développement d'un véritable marché du soutien aux élèves - depuis l'école jusqu'au baccalauréat - pour les aider à faire leurs devoirs à la maison.
Ce "business" est de plus en plus florissant. On estime qu'un collégien ou lycéen sur six suit des cours particuliers, à la maison ou, de plus en plus, dans des entreprises de soutien scolaire, dont le chiffre d'affaires explose depuis une dizaine d'années. Au total, 40 millions d'heures de cours particuliers seraient ainsi dispensées, soit un marché annuel estimé entre 1 et 2 milliards d'euros.
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Marre des devoirs ? Achetez les solutions sur Internet !
Un problème de trigonométrie insoluble, un exposé d'histoire ancienne à rallonge, ou une obscure dissertation philosophique… Faismesdevoirs.com, qui devrait ouvrir officiellement le jeudi 5 mars, le promet : "Si tu n'y arrives pas… Nous sommes là".
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Darcos critique un nouveau site Internet d'aide scolaire
Le meilleur endroit pour être éduqué et pour avoir des copies corrigées, c'est l'école de la République", a déclaré le ministre de l'éducation nationale, Xavier Darcos, à la sortie du conseil des ministres, en référence au lancement d'un nouveau site Internet, faismesdevoirs.com, qui propose aux élèves d'acheter des corrections de copies. "Je n'encourage nullement des dispositifs payants qui permettent de rendre ces services-là. Je l'encourage si peu qu'une grande partie de la politique qui est conduite au ministère de l'éducation nationale vise à offrir gratuitement, à tous, ce que des officines privées offrent souvent en faisant payer", a-t-il ajouté.

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L’Humanité du 04/03/09 (un jour de retard)



Prisons. Un enseignant en quête d’évasion
Patrick Leterrier nous raconte son expérience de professeur en maison d’arrêt. Témoignage.
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Le Parisien (certains articles payants) du 04/03/09



Le site qui fait les devoirs pour 5 €
Un site Internet, payant, propose dès demain de faire les devoirs des élèves. Bien qu’il ne soit pas encore accessible, il déclenche déjà la foudre des enseignants.
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Site payant pour les devoirs scolaires : Darcos n'apprécie pas
Le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, a critiqué mercredi, sans le nommer, le site internet faismesdevoirs.com qui va proposer moyennant 5 à 30 euros de faire les exercices scolaires à la place des élèves des lycées et collèges. 

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La Croix du 04/03/09



Faismesdevoirs.com, site d'aide aux devoirs scolaires, suscite la polémique
Le ministre de l'éducation nationale, Xavier Darcos, a critiqué mercredi 4 mars, sans le nommer, le site Internet Faismesdevoirs.com qui va proposer moyennant rémunération de faire les exercices scolaires à la place des élèves des lycées et collèges
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Quel accompagnement offrent les sites de soutien scolaire sur Internet ?
Avec la rentrée, parents et élèves s'intéressent de près au soutien scolaire. La Toile propose de nombreux sites d’aide aux écoliers, collégiens et lycéens, gratuits comme payants. Mais quel accompagnement offrent-ils ?
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Des "parents bis" qui aident à grandir
Depuis toujours, des enfants aiment à trouver chez d'autres adultes que leurs parents affection et aide. Sans rien enlever à la parenté instituée, cette parenté choisie est toujours un "plus"
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Les échos du 04/03/09



Les députés veulent interdire la vente de cigarettes aux mineurs
L'Assemblée nationale doit examiner en fin de semaine un amendement parlementaire portant l'interdiction de vente de tabac de 16 à 18 ans. Certains industriels y sont favorables. Le gouvernement hésite encore à soutenir la mesure.
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Grandes écoles : davantage de candidats boursiers cette année
Le compte à rebours a déjà commencé dans les classes préparatoires aux grandes écoles. Il ne reste plus que deux - petits - mois aux élèves avant le début des concours des écoles de management. A cette étape des révisions, la nature des épreuves n'a théoriquement plus de secrets pour eux : depuis février, tous les élèves se sont inscrits auprès de leurs écoles de prédilection. Ils sont cette année encore plus nombreux à tenter leur chance : la Banque commune d'épreuves (BCE), qui recense les inscriptions de 25 écoles (HEC, l'Essec, une quinzaine d'ESC...) pointe une hausse de 6,3 % des candidats (9.280). Ecricome, qui regroupe six autres écoles (Bordeaux, Tours-Poitiers...), est, avec 7.486 candidats, en hausse de 10,3 %
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20 minutes du 04/03/09



Professeur à Mantes-la-Jolie et enceinte de quatre mois, elle avait été agressée mi-février: elle raconte
Ses collègues au lycée professionnel Jean-Rostand exercent depuis lundi leur droit de retrait pour obtenir plus de sécurité...
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Tricher en mode 2.0, c'est désormais possible
Faismesdevoirs.com propose de faire les exercices scolaires à la place des élèves des lycées et collèges, moyennant finance...
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«Un enfant a besoin d'un père et d'une mère quand même»
Le texte visant à accorder aux parents gays ou lesbiens le statut de tiers suscite la polémique. Béatrice Bourges est l'auteure de «L'homoparentalité en question: et l'enfant dans tout ça?». Elle est également porte-parole du Collectif pour l'enfant.
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Enseignants-chercheurs: des «progrès» entre les syndicats et Valérie Pécresse
Des deux côtés, on salue des avancées. Reste à régler la question des promotions vendredi...
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Rue89 du 04/03/09



On ne transmet pas que des gènes à ses enfants
Intelligence, obésité ou délinquance: les médias ne jurent que par le pouvoir des gènes. Rue89 vous démontre le contraire.
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Faismesdevoirs.com : quel est le prix d'un exercice de maths ?
Scandale chez les enseignants. Le site Faismesdevoirs vend aux élèves des exercices de maths sans aucune erreur ou des exposés d'histoire clé en main. Mais comment le site fixe-t-il ses prix? Son créateur répond.
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Ouest-France du 04/03/09



Sur internet, un site fait les devoirs des élèves contre de l'argent
Un tout nouveau site internet, à destination des élèves de la sixième à la terminale, va être lancé demain. Présenté par son fondateur Stéphane Boukris comme un « outil pédagogique », il permet en fait à certains élèves de faire faire leurs devoirs par d’autres personnes, moyennant une certaine somme d’argent.
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Les jeunes délaissent la bande FM
À la radio, le « tout musique » souffre à cause des baladeurs MP3 et d'Internet.NRJ et les autres cherchent des solutions.
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Le Journal du Dimanche du 04/03/09



Universités: La grogne continue
Le succès partiel obtenu par les syndicats lors des négociations qui ont eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi avec la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse ne change rien à l'affaire. Les représentants des enseignants-chercheurs ont renouvelé leur appel à une nouvelle mobilisation nationale ce jeudi. Une journée qui aura valeur de test, avant les nouvelles discussions de vendredi.
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Le Nouvel Obs Permanent du 04/03/09


Universités : le décret est en cours de réécriture
Parmi les terrains d'entente trouvés, la ministre de l'Enseignement supérieur a cité la question de la modulation de service des enseignants-chercheurs et celle de leur évaluation. Il reste à trouver un accord sur la question des promotions.
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L’Express.fr du 04/03/09


Ces devoirs qui créent la polémique
Un site internet va proposer des devoirs scolaires clés en main. Une bonne nouvelle pour des élèves non consciencieux, un scandale pour les parents d'élèves et le ministère de l'Education.
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Le Café Pédagogique du 04/03/09


Décrochage scolaire : une politique précipitée au goût de « déjà-vu » ?

Une récente circulaire du ministre de l’Education Nationale, cosignée de Fadela Amara, tente de relancer, dans le cadre du Plan « Espoir banlieues », une politique de lutte contre le décrochage scolaire.
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Mutations : Les syndicats lancent une pétition
"Les organisations syndicales unanimes appellent tous les personnels à ne pas s’en laisser conter. Sous couvert d’information, le ministère mène une offensive de grande envergure contre les droits des personnels et le paritarisme qui les garantit". Nous l'annoncions le 2 mars. Les fédérations syndicales (CGT Educ’action, SGEN-CFDT, SE-UNSA, SNALC-CSEN, SNCL-FAEN, SNETAA-EIL, SN FO LC, SUD Education, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNUEP-FSU) ont réagi le 3 mars à la diffusion directe par le ministère des décisions de mutation avant la réunion des commissions paritaires.
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Médiapart (accès payant) du 04/03/09


Rien vu...


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Une sélection dans les dépêches du 04/03/09



Une délégation du Snesup-FSU reçue mercredi par Valérie Pécresse
Une délégation du Snesup-FSU, principal syndicat de l'enseignement supérieur, était reçue mercredi après-midi par la ministre Valérie Pécresse, a-t-on appris auprès des deux parties.
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Controverse autour d'un site payant offrant de faire les devoirs des élèves
Avant même son lancement jeudi, le site internet faismesdevoirs.com, qui propose de faire les exercices scolaires à la place des lycéens et collégiens moyennant 5 à 30 euros, a suscité les critiques du ministre de l'Education nationale, des syndicats d'enseignants et de parents d'élèves.
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FSU: les personnels de la maternelle à l'université appelés à manifester le 11 mars
La FSU, première fédération de l'Education, appelle tous les personnels de l'enseignement (primaire, collèges, lycées) et de la recherche "à faire du mercredi 11 mars une journée de manifestations partout en France pour imposer une autre politique éducative".
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Enseignants-chercheurs: AutonomeSup évoque la possibilité d'un "désaccord"
Le syndicat AutonomeSup a estimé "possible" que les discussions vendredi au ministère de l'Enseignement supérieur sur le statut des enseignants-chercheurs "n'aboutissent qu'à un constat de désaccord", dans un communiqué mercredi.
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