lundi, octobre 11, 2010

Revue de presse du lundi 11 octobre 2010

Jeunes : qui manipule qui ? - Bruno Racine, le HCE et le socle commun - Monomotapa vs Louis XIV - “Je préfère manger à la cantine…”-


Jeunes : qui manipule qui ?
On a beaucoup évoqué la semaine dernière dans cette revue de presse, la crainte du pouvoir de voir les jeunes se joindre massivement au mouvement social sur les retraites. Nicolas Sarkozy confie volontiers à ses interlocuteurs que c’est ce qu’il craint le plus car il ne peut le maîtriser. La crainte est double. D’abord, parce que selon le mot d’un conseiller ministériel il y a quelques temps “ les jeunes c’est comme le dentifrice, une fois que c’est sorti, on a pas le mode d’emploi pour les faire rentrer.”. Ensuite, par crainte de la bavure comme cela s’est malheureusement produit dans le passé (rappelons nous de Malik Oussekine)
"Moi, je veux rappeler que manifester sur la voie publique c'est dangereux" a cru bon de rappeler Luc Chatel la semaine dernière. Raymond Soubie, le conseiller social de Nicolas Sarkozy (et vrai pilote de la réforme) a de son côté évoqué le risque de manipulation des syndicats qui appelleraient les jeunes à manifester. Les parents d’élèves de la PEEP dénoncent pour leur part “l’instrumentalisation des jeunes”. Une accumulation de mises en garde qui font se demander de quel côté est la manipulation.
Et d’ailleurs Les jeunes sont-ils “manipulables” ? D’abord c’est surestimer le pouvoir d’influence des enseignants. Ensuite, c’est finalement assez injurieux à l’égard des jeunes que de penser qu’ils ne sont pas capables de développer une pensée autonome alors que par ailleurs on parle du lycée comme d’un lieu de formation du citoyen. Certes le sujet de la retraite peut leur sembler très lointain, mais ce mouvement social (comme c’est très souvent le cas…) agrège de nombreux motifs de mécontentement et d’angoisse qui parlent aux jeunes. Comme par exemple, l’entrée dans la vie active, la précarité, le chômage. Autant de raisons qui peuvent conduire éventuellement à une cristallisation et une radicalisation du mouvement.

Bruno Racine, le HCE et le socle commun
C’est une interview dans Le Café Pédagogique qui fait l’événement. Bruno Racine, le président du Haut Conseil de l’École (HCE) dans une longue interview revient sur le récent rapport du HCE sur le collège. Il commence d’abord par rappeler que le socle commun n’est pas appliqué sérieusement dans les collèges et répond à ses détracteurs qui considère ce socle comme un minimum culturel sans ambitions. “ Dans la logique du socle commun, on s’intéresse aux acquis des élèves. rappelle t-il On connaît bien l’écart actuel entre le contenu des programmes enseignés et ce qui est retenu par les élèves en fin de compte : avec le socle est introduite une obligation de résultats concernant les acquis. Le socle commun, ce sont des savoirs durables et mobilisables, vivants donc, en dehors de l’École et après l’École : là est l’intérêt des « compétences », qui s’appuient sur de solides connaissances.”. Il s’élève aussi contre ce qu’il appelle “le culte de la moyenne et ajoute qu’ “aujourd’hui, la France est le seul pays au monde où le fait de ne pas savoir la moitié des connaissances à acquérir permet malgré tout de progresser dans le cursus scolaire. ”. Il réfute aussi l’idée que le socle serait néfaste à l’élite : “les enquêtes PISA le prouvent : défendre résolument le socle commun pour tous, donc s’atteler à faire vraiment reculer l’échec scolaire, est le meilleur moyen pour dégager une élite à la fois plus nombreuse et de meilleur niveau. Cela signifie qu’avoir l’ambition du socle pour tous les élèves, ce n’est donc pas du tout en avoir moins pour quelques-uns : c’est aussi avoir plus d’ambition pour l’élite.
Comment le mettre en œuvre véritablement ? Pour Bruno Racine et le HCE cela passe par la formation initiale et continue et la nécessité de susciter l’adhésion de tous les acteurs concernés. Cela passe aussi par un pilotage par l’aval et en particulier par une évolution du Brevet (DNB) qui pour l’instant “ne permet pas d’attester la maîtrise de l’ensemble des compétences du socle commun et il ne saurait donc être utilisé comme outil de pilotage de « l’École du socle commun »”. Même s’il accorde au DNB une valeur symbolique, il prône surtout une évaluation régulière et systématique des compétences tout au long de la scolarité.
Il conclut en appelant à un véritable débat “sur ce que notre société attend de la scolarité obligatoire et sur la manière d’atteindre cette ambition historique : élever le niveau moyen des jeunes Français jusqu’à seize ans et, dans le même temps, dégager une élite plus nombreuse !”. Espérons que les nombreuses réflexions dans la perspective des présidentielles ne feront pas l’impasse sur ce débat essentiel.

Monomotapa vs Louis XIV
Libération aborde avec ses tribunes du jour une polémique comme la France en a le secret. Il s’agit de la question de l’enseignement de l’histoire. Ici, ce sont précisément les programmes du collège qui sont visés. Ceux-ci sont l’objet de critiques car les nouveaux programmes auraient diminué la part consacré à Louis XIV et Napoléon au profit de l’histoire des civilisations non européennes jusque là ignorées. Luc Cédelle avait fait d’ailleurs sur son blog un billet très ironique de critique de cette thèse avec pour titre Napoléon a-t-il perdu la bataille du Monomotapa ?.
Pierre Lunel dans Libération reprend cette thèse à son compte et déplore la place faite à ces chers Napoléon et Louis le Quatorzième. Il regrette aussi que la question de l’Islam soit moins bien traitée dans ce nouveau programme. Dans le même journal, Laurence de Cock, professeur d’Histoire-Géo en lycée à Nanterre et membre du CVUH (Comité de vigilance face aux usages publics de l’Histoire) pointe le caractère “nauséabond” de cette polémique où un bon nombre de signataires d’une pétition de critique de ces nouveaux programmes se situent sur le plan d’une défense “identitaire” et nationaliste. Elle demande “ Veut-on une histoire identitaire ? ” et note que de plus en plus l’histoire est utilisée à des fins mémorielles (cf. Guy Môquet) et identitaire. “Au fond, le non-dit de cette pétition est de fustiger un montage qui intègre un passé apparemment exogène au risque de saboter la vision ethnocentrée si utile à l’édification d’un orgueil national. ” remarque t-elle et elle ajoute “On ne s’étonnera donc pas du soutien apporté par Eric Zemmour à cette pétition : pareil allié suffit à convaincre du caractère progressiste de la démarche.”.

Je préfère manger à la cantine…
…avec les copains et les copines” chantait Carlos au siècle dernier. Sauf qu’aujourd’hui, manger à la cantine n’est pas possible pour tous.
Plusieurs milliers d’élèves se seraient ainsi vu refuser l’accès à la cantine depuis la rentrée, selon un article du Parisien. En cause, selon le quotidien, un nombre de demandes d’inscription qui a explosé avec la crise, des infrastructures trop petites et le baby boom des années 2000.

La situation, qui concerne surtout les écoles mais aussi certains collèges et lycées, est plus sensible dans des grandes villes et en banlieue, précise Le Parisien. .Des recours devant la justice, au nom du principe d’égalité des usagers devant le service public, pourraient ainsi se multiplier, indique le quotidien.
Liberté, égalité, coquillettes…

Bonne Lecture...
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Libération.fr du 11/10/10 (certains articles payants)


Veut-on une histoire identitaire ? Par LAURENCE DE COCK Professseure d’histoire-géographie au lycée Joliot-Curie de Nanterre
Régulièrement l’histoire scolaire en France fait débat. On pourrait s’en réjouir si la dernière polémique ne dégageait des effluves nauséabonds dans un contexte d’exaltation d’une identité nationale purgée de sa composante immigrée. Cette polémique porte sur l’introduction dans les programmes de cinquième de l’histoire des civilisations africaines (Monomotapa, Songhaï, Mali ou Ghana, au choix) et des premières traites des esclaves avant le XVIe siècle. Pour quelques historiens en mal d’icônes, cette soudaine intrusion d’une «extra-hexagonalité» dans les programmes français se serait faite au détriment de l’étude des grands hommes (res)sources de notre fierté nationale. Sous la houlette de Dimitri Casali, ces nostalgiques d’une légende nationale épique ont lancé sur Facebook une pétition «Pour Napoléon et Louis XIV».
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Première S et médaille Fields Par ÉRIC BARBAZO Président de l’Association des professeurs de mathématiques de l’enseignement public
Doit-on déceler une quelconque corrélation entre la capacité que possède une nation à obtenir un nombre conséquent de médailles Fields (équivalent du prix Nobel pour les mathématiques) et la formation mathématique dispensée au lycée ? La France est un pays singulier qu’il est bon d’étudier : au sommet, 11 médailles Fields sur 52, obtenues par des Français depuis 1936 ; deux Français lauréats en 2010 de cette distinction majeure. A la base et dans le même intervalle de temps, un bachelier scientifique français peut accéder directement en deuxième année universitaire américaine. Le baccalauréat français est reconnu comme d’excellent niveau dans de nombreux pays. Corrélation ou hasard ? Le but de cet article est d’alerter l’opinion publique sur les méfaits que va engendrer la réforme du lycée qui se met en place. Examinons les faits.
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La musique adoucit les mômes
Rock, chanson, electro : de plus en plus de manifestations, à l’instar du Festi’Val-de-Marne, développent une offre spécifiquement destinée aux enfants.
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Louis XIV et Napoléon hors programme Par PIERRE LUNEL Professeur des universités
L’année dernière, on nous avait déjà fait le coup avec la «grande» réforme du lycée prévoyant de rendre optionnels les cours d’histoire-géo en terminale S. Comme une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule, qu’apprend-on cette année ? Qu’on boute hors des programmes deux bonnes vieilles idoles de la France, Louis XIV et Napoléon. Pas moins. Michelet et Victor Hugo doivent s’en retourner dans leur tombe ! Exit, les deux héros les plus connus de l’histoire de France. Expédiés aux oubliettes, et, dans un jargon qui donne froid dans le dos, relayés à des «éléments de compréhension contextuels» (sic !).
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Le Figaro du 11/10/10


Pécresse veut revoir les concours des grandes écoles
Certaines épreuves écrites pourraient être réformées à la marge, d'autres disciplines apparaîtraient.
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Le Monde.fr (certains articles payants) du 11/10/10



Reiser interdit aux mineurs non accompagnés
Est-ce le syndrome Larry Clark ? Après la Mairie de Paris qui a décidé d'interdire aux mineurs la rétrospective du photographe américain au Musée d'art moderne, Quai des bulles, le Festival de la bande dessinée de Saint-Malo, qui célébrait ses 30 ans du 8 au 10 octobre, a interdit l'exposition consacrée à Jean-Marc Reiser aux mineurs non accompagnés.
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Sciences Po pense sexes
Où pouvait-on discuter du plaisir féminin avec l'actrice porno Judy Minx, écouter le philosophe Ruwen Ogien interroger les rapports troubles du sexe et de l'argent ou rencontrer les militantes féministes de La Barbe et des Tumultueuses ? A Sciences Po, en mai, lors de la première "Queer Week, semaine du genre et des sexualités". Une semaine consacrée au mouvement d'idées radical critiquant les normes sexuelles, le Queer. Ancien de l'ENA et du Conseil d'Etat, le directeur de Sciences Po, Richard Descoings, avait ouvert les débats avant de céder la parole à Didier Eribon, un des pionniers de la réflexion sur l'homosexualité en France.
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Faut-il imposer un enseignement sur les inégalités entre les sexes en France ? Hélène Périvier, économiste, coresponsable du Programme de recherche et d'enseignement des savoirs sur le genre à Sciences Po Paris
L'intégralité du débat avec Hélène Périvier, économiste à l'OFCE et coresponsable du Programme de recherche et d'enseignement des savoirs sur le genre (Presage) à Sciences Po, vendredi 8 octobre 2010
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L’Humanité du 11/10/10



Rien vu...


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Le Parisien (certains articles payants) du 11/10/10



Polémique : des milliers d'élèves privés de cantine
Ils préféreraient manger à la cantine, « avec les copains et les copines », comme le chantait Carlos. Mais ils n’y ont pas accès. Plusieurs milliers d’enfants se retrouvent, en effet, exclus des restaurants scolaires depuis la rentrée faute de places suffisantes pour les accueillir.
Plus que jamais, ça bouchonne dans les selfs des écoles qui nourrissent quotidiennement 6 millions de demi-pensionnaires et, dans une moindre mesure, les collèges et lycées de l’Hexagone.
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Test : et si vous repassiez le certificat d'études de 1959
«Le matériel de repassage. Son emploi». Si l'on proposait aujourd'hui cet énoncé pour un contrôle de sciences aux filles d'une classe de cinquième, on déclencherait à coup sûr un fou-rire. Pourtant, c'est un vrai sujet. Quelques dizaines de demoiselles de 14 ans ont même planché dessus... il y a près de cinquante ans, avec le ferme espoir de décrocher leur certificat d'études.
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Quelques dérapages lors des manifestations de lycéens
Des jeunes continuent de se mobiliser contre le projet de réforme des retraites. Les manifestations, qui ont débuté jeudi dans plusieurs villes de France (Paris, Caen, Cherbourg...etc. ), se sont renouvelées vendredi matin, avec parfois quelques dérapages.
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Essonne : Cette classe n'a pas changé depuis cent ans
Cette classe de Linas (Essonne) est un petit miracle. Ouverte le 10 octobre 1910, voici tout juste cent ans, elle est restée figée dans le temps. Avec son odeur de bois dans l’air, ses encriers et ses porte-plume posés sur les bureaux à plan incliné. Un poêle à charbon et des sabots semblent sécher de la récréation précédente, pendant laquelle les enfants avaient ramassé du bois.
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Nanterre - Collège Jean-Perrin : tous les profs en grève
Les enseignants du collège Jean-Perrin sont tous en grève aujourd’hui. Ils ne veulent pas accueillir un nouveau dispositif prévu pour seize élèves en très grande difficulté.
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Val de Marne : Les policiers référents se font discrets au lycée
Deux lycées du département accueillent depuis une semaine des forces de l’ordre. Une mesure controversée dont la mise en pratique est pour le moins délicate.
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La multinationale s’allie au lycée de Sarcelles
Tutorat, tests d’embauche, Deloitte, cabinet spécialisé dans l’audit d’entreprises, va mettre ses compétences au service des 1 800 élèves du lycée Jean-Jacques-Rousseau.
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France Soir du 11/10/10



Rien vu...


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La Croix du 11/10/10



Rien vu...


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Les échos (certains articles payants) du 11/10/10



Retraites: la mobilisation des jeunes, un des enjeux de la journée de mardi
La mobilisation des jeunes, qui ont commencé à manifester en fin de semaine contre la réforme des retraites, constituera un des enjeux de la journée nationale de contestation de mardi, alors que jusqu'à présent ils n'ont pas été massivement présents dans les cortèges.
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Budget 2011 : le virage de la rigueur amorcé
Le gouvernement français a présenté mercredi 29 septembre un budget 2011 d'austérité pour engager le pays dans un effort sans précédent de réduction de ses déficits record, au prix de coupes dans les dépenses publiques mais aussi de hausses d'impôts. ...
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Retraites : les syndicats lycéens voient la grogne s'amplifier
Les lycéens défileront mardi aux côtés des salariésUn mouvement appelé à s'amplifier, selon les syndicatsLe gouvernement multiplie les mises en garde ...
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Défense des grandes écoles PAR DOMINIQUE SEUX
C'est un refrain qui est devenu une rengaine à force d'être entonné : les grandes écoles françaises doivent être réformées d'urgence. Elles sont trop élitistes. Elles ne corrigent pas les inégalités sociales si elles ne les aggravent pas. Leurs concours sont difficiles, mais peut-être et surtout injustes. Il y a quelque temps, on s'en souvient, Nicolas Sarkozy avait fait sensation en les menaçant de quotas de boursiers. Vendredi, Valérie Pécresse, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, leur a demandé, sur un ton certes modéré, un effort supplémentaire : faire évoluer leurs épreuves d'entrée pour « les faire gagner en justice ». Selon un rapport de l'Inspection générale de l'Education nationale, les sciences se révéleraient finalement, et contrairement à l'idée défendue depuis toujours, plus discriminantes que les matières littéraires. Mais ce rapport n'a pas été divulgué…
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20 minutes du 11/10/10



Entre 28% et 48% de grévistes dans l'Education nationale mardi
Selon les prévisions du ministère et des syndicats...
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L'accès à la cantine refusé à des milliers d'élèves en France
En raison d'une explosion des demandes d'inscription...
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Rue89 du 11/10/10



« Les retraites sont un prétexte à la formulation de la colère »
Selon Henri Vacquin, spécialiste des conflits sociaux, la mobilisation est plus proche de Mai 68 que de décembre 95. Entretien.
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Ouest-France du 11/10/10



Rien vu...


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Le Journal du Dimanche du 11/10/10



Rien vu...


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Le Nouvel Obs Permanent du 11/10/10


La crise de nerfs d'un prof de maths
Un professeur de mathématiques d’un lycée de Nashville, aux Etats-Unis, a été suspendu de ses fonctions après la diffusion, vendredi 8 octobre sur YouTube, d’une vidéo dans laquelle on le voit hurler sur ses élèves avant de ravager la salle de classe. Selon le site de la chaîne Channel 5, les raisons de cette crise de nerfs sont pour l’instant encore inconnues. L’enseignant aurait tout d’abord simplement demandé à un groupe d’élèves de faire silence avant de totalement perdre le contrôle et de se mettre à lancer des chaises et des tables tout en proférant des paroles parfois totalement incohérente. La scène, filmée par un élève, a ensuite été postée sur You Tube. L’homme a été suspendu le temps que soit menée une enquête interne.
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L’Express.fr du 11/10/10


Rien vu...


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Le Café Pédagogique du 11/10/10


Collège : Le HCE s'explique
Dans un entretien accordé au Café pédagogique, Bruno Racine, président du Haut Conseil de l'Education (HCE), répond aux détracteurs du dernier rapport sur le collège.
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Les jeunes et le 12 octobre
Poussés ou volontaires ? La participation des lycéens à la manifestation du 12 octobre occupe les médias. Et ils n'ont pas tort.
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Médiapart (accès payant) du 11/10/10


Rien vu...


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Slate.fr du 11/10/10



Retraites: la logique de la radicalisation
En durcissant leur opposition à la réforme des retraites, les syndicats installent leur mouvement dans la durée. Le scénario n’est pas vraiment surprenant.
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ÉducPros du 11/10/10


Les retraites vont-elles réveiller la mobilisation des enseignants ? Le billet d'Emmanuel Davidenkoff
"En 2003, les enseignants et les personnels d’éducation ont pris un gros, très gros coup sur la tête, à l’issue du mouvement contre les réformes des retraites et de la décentralisation", écrit Emmanuel Davidenkoff sur son blog. "Depuis, le corps enseignant est atone". "Le mouvement contre la réforme des retraites [actuel] peut-il changer la donne ? Pour l’heure, rien ne permet de l’affirmer", estime le directeur de la rédaction de L'Etudiant, bien que le terreau soit propice, pour la première fois depuis 2003, à "une mobilisation longue et massive dans l’éducation".
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Concours des grandes écoles : Valérie Pécresse lance une concertation avec la CGE
La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche lance une concertation avec la CGE (Conférence des grandes écoles) sur les concours d’entrée aux grandes écoles « pour les faire gagner en justice sociale sans perdre en exigence ». Elle l’a annoncé aujourd’hui, vendredi 8 octobre 2010, à l’occasion de la clôture du congrès de la Conférence.
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VousNousIls du 11/10/10



Woerth : ceux qui appellent les jeunes à défiler "totalement irresponsables"
Le ministre du Travail Eric Woerth a affirmé lundi que ceux qui appellent à la mobilisation des jeunes "sont totalement irresponsables" à la veille d'une nouvelle journée d'action syndicale contre le projet de réforme des retraites.
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Retraites: 27,2% des enseignants du primaire en grève mardi (ministère)
Un taux de 27,17% des enseignants du primaire (écoles maternelles et élémentaires) ont déclaré leur intention de faire grève mardi lors de la journée d'actions contre le projet de réforme des retraites, a annoncé lundi le ministère de l'Education nationale dans un communiqué.
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