mardi, mars 28, 2006

Revue de presse du mardi 28 mars 2006

Beaucoup, vraiment beaucoup….
Hier, je posais, comme toute la presse, la question du « Combien ? ». Malgré les différences dans les comptes, la réponse est unanime. Beaucoup, énormément…
Que ce soit d'après les chiffres de la police -- qui a comptabilisé 1,06 million de manifestants dans quelque 250 cortèges --, ou ceux des syndicats qui comptent trois millions, la participation à la journée de mardi a été deux fois supérieure à celle de la précédente mobilisation anti-CPE du 18 mars, qui avait réuni entre 500.000 et 1,5 million de personnes.

La participation dans l’éducation nationale, d’après les chiffres fournis par le ministère, a elle aussi été très forte : de 37% dans les lycées à 40,56% dans les collèges et 42,7% dans les écoles. Sans compter les lycées (comme celui où j’enseigne) qui étaient fermés…

L’autre question posée hier était : « Et après ? ». A cette question ; le premier ministre semble pour l’instant répondre par l’indifférence et veut garder la loi tout en proposant des aménagements. Ce que refusent les syndicats de salariés et de jeunes.
Reste la porte de sortie du Conseil constitutionnel…
Parier sur le pourrissement est de toutes façons très risqué pour le gouvernement. On a vu encore aujourd’hui des incidents, moins importants cependant que le 18 mars dernier, émailler les différentes manifestations. Le risque est grand d’une radicalisation et d’une exacerbation de la violence qui ne profiterait à personne.

Tous ces points sont développés dans vos journaux. Vous avez aujourd’hui une raison de plus de lire cette revue de presse car, les journaux “papier“ n’étant pas distribués, il faut forcément lire aujourd’hui la presse en ligne. Il y a des jours où on se sent utile...

Bonne Lecture...
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Libération du 28/03/06



Villepin rate ses divisions
Le Premier ministre a invité, sans succès, syndicats et étudiants à «discuter», ignorant la forte mobilisation attendue aujourd'hui.
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EDITORIAL • Surréaliste
Drôle de jour J. Le pays est bloqué et tendu comme jamais, les trois quarts des universités sont touchées par la grève, plus d'un millier de lycées également, les syndicats constatent une mobilisation dans le secteur public comme dans le privé plus grande qu'au plus fort moment de la réforme des retraites, les sondages donnent de manière persistante une opinion aux deux tiers hostile au CPE, mais, côté pouvoir, personne ne bouge. […]Ne serait l'enjeu, la scène serait tragi-comique.
En la circonstance, elle est tellement surréaliste qu'on a du mal à imaginer la suite. Dominique de Villepin a invité les syndicats et les organisations étudiantes demain mais c'est pour leur proposer encore de discuter d'«aménagements» à la loi : le geste est sidérant, à moins qu'il ne s'agisse d'une nouvelle tentative de division ou d'une volonté d'exaspérer un peu plus le mouvement, pour le pousser à la faute.
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Grève: le public répond à l'appel
Le mouvement devrait être largement suivi aujourd'hui dans toute la France, de la SNCF à EDF, en passant par France Télécom.
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«Une attaque sans précédent contre le code du travail»
Marie-Cécile Perillat, 31 ans, enseigne l'histoire-géographie au lycée Toulouse-Lautrec de Toulouse et milite au Snes, syndicat majoritaire dans le secondaire. Pour elle, la journée de grève de mardi va marquer «un point de rencontre important» entre étudiants, lycéens, salariés et enseignants.
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A Paris, la police veut faire le ménage
4 000 agents seront déployés le long de la manifestation.
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Le Figaro du 28/03/06


Le CPE à l'épreuve de la grève
Dominique de Villepin a invité les syndicats et les organisations étudiantes à discuter cet après-midi à Matignon des «aménagements à apporter au CPE».
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A Paris, les casseurs sont attendus en nombre
La préfecture de police met en place un système inédit pour tenter de contenir les débordements.
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Jeunes et patrons face à l'avenir
D'un côté, huit jeunes - étudiants, lycéens, stagiaires... De l'autre, cinq patrons. Le moins âgé d'entre eux n'a que 28 ans et dirige une entreprise qui a généré dix mille emplois indirects. La confrontation a eu lieu le 20 mars au Figaro Magazine. Au coeur du débat : le CPE, le chômage, l'avenir d'une génération inquiète, pour qui la stabilité d'un emploi est presque devenue un idéal. Alors que les patrons réclament davantage de flexibilité pour embaucher... Un dialogue difficile mais, de part et d'autre, la volonté de se comprendre. La preuve que lorsque des gens de bonne volonté se réunissent autour d'une table, des solutions sont envisageables.
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L'Humanité du 278/03/06 (un jour de retard)



Le gouvernement choisit d’attendre
Journée décisive demain dans la lutte pour le retrait du CPE, alors que les étudiants ne désarment pas et que la situation est de plus en plus tendue.
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Ils partagent la colère des jeunes
Guy Bedos, comédien.
« Je suis évidemment, bien que je sois en CDE, contrat dernière embauche, totalement solidaire de ces jeunes gens. Ils réagissent contre le monde tel qu’il est et ils ont raison. Je parle presque plus en père de famille mais la réponse apportée n’est pas bonne du tout. Je vois mes enfants, leurs amis : de stage en stage, on les traîne jusqu’à trente ans et à quarante ans, on leur dit qu’ils sont vieux... Pour en revenir au CPE, on ne peut être que choqué par la manière dont tout a été organisé. Normalement, on dialogue d’abord, on légifère après.
Le CPE est aussi un prétexte pour les jeunes de dire leur angoisse, leur inquiétude, leur colère contre le monde qu’on leur propose. Le CPE, avec la brutalité du licenciement au bout de deux ans sans motif, est une mesure extrêmement violente. [...]
Patrick Bruel, chanteur.
« Le peuple a envie de s’exprimer très fort. Aujourd’hui, le CPE réunit énormément de gens dans la rue. Bien plus qu’on pourrait penser. Est-ce que c’est vraiment le CPE qui réunit tous ces gens ? Ou est-ce que c’est une envie d’exprimer un ras-le-bol, un appel au secours ? J’y vois plus un appel au secours.[…]
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Sarkozy durcit les consignes policières
Le dispositif policier mis en place lors des dernières manifestations anti-CPE fait débat. Favoriserait-il les incidents qui ont émaillé la fin des défilés ?
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Le Parisien du 28/03/06 ( gratuit aujourd’hui…)



Combien?
Villepin a donné rendez-vous aux syndicats et aux étudiants mercredi à Matignon. En attendant, les anti-CPE s'apprêtent à se mobiliser fortement aujourd'hui. Une amplification de la contestation confirmée par les renseignements généraux.
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La police renforce son dispositif anti-casseurs
LES SERVICES de renseignements estiment entre 60 000 et 100 000 personnes le nombre de manifestants qui devraient défiler aujourd'hui à Paris contre le CPE et espèrent surtout moins de débordements que jeudi dernier quand l'esplanade des Invalides s'est transformée en terrain de bataille. Les autorités, cette fois, multiplient les mesures pour éviter ces incidents, il est vrai moins fréquents dans les cortèges réunissant aussi les salariés et pas seulement les étudiants, cibles faciles pour les groupes violents. Selon la préfecture de police de Paris, des contrôles préventifs de personnes, susceptibles de se livrer à des actes de violence, seront mis en oeuvre, le réseau des transports francilien faisant l'objet d'une surveillance accrue en collaboration avec la RATP et la SNCF.« Même si cela peut provoquer des troubles dans les gares de banlieue, on évite l'agrégation au cortège », confie un policier.
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L'éducation au ralenti
DES MATERNELLES aux universités, c'est toute la planète éducation qui tournera aujourd'hui au ralenti pour protester contre le contrat première embauche. Les cinq grandes fédérations de l'éducation (FSU, UNSA, Ferc-CGT, Sgen-CFDT, FAENR) ont appelé en choeur à la grève. Revue de détail secteur par secteur.
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Matignon persiste, les cortèges grossissent
«AMBIANCE champagne » selon l'expression d'un proche, hier après-midi, dans l'entourage du Premier ministre après la publication d'un sondage Ipsos affirmant que la droite soutient à 72 % l'aménagement du CPE. Faisant peu de cas des 8 % de droite à souhaiter le maintien du CPE en l'état actuel et surtout des 63 % de Français qui n'approuvent pas le CPE, Dominique de Villepin continue de rester inflexible sur ses positions.
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La Croix du 28/03/06



Aucune des 5 confédérations de salariés n'ira chez Villepin mercredi
Les cinq confédérations syndicales de salariés ont décliné mardi l'invitation à négocier des "aménagements" au contrat première embauche formulée par Dominique de Villepin, le jour d'une quatrième journée de mobilisation en deux mois pour le retrait du CPE.
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20 minutes du 28/03/06



Grèves et manifestations anti-CPE: le pays au ralenti
Des milliers d'arrêts de travail et 135 manifestations partout en France: la vague de mobilisation anti-CPE devrait se faire particulièrement sentir dans les transports et l'école, mardi, alors que les cortèges seront placés sous haute surveillance policière pour parer à tout débordement.
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Les violences à la marge sont au coeur des débats
La 4e journée de mobilisation syndicale contre le CPE s'annonce aujourd'hui comme la plus importante depuis le début du mouvement. Les syndicats font état d'un nombre d'appels à la grève supérieur à celui du conflit des retraites en 2003. Les craintes de violences, comme jeudi dernier à Paris, n'en sont que plus grandes. Policiers et syndicats se demandent comment contenir les casseurs.
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Le Quartier latin se souviendra aussi de mars 2006
Quelques degrés de plus, des feuilles aux arbres, et on se croirait en plein mois d'août, au pied de la Sorbonne. Le bouclage du quadrilatère bordant la prestigieuse université depuis l'évacuation, dans la nuit du 10 au 11 mars, fait régner un calme inhabituel.
« Ou allez-vous ? Vous habitez ici ? » : Ainsi se fait-on accueillir par les forces de l'ordre aux barrages postés à chaque rue attenante. Seuls sont autorisés à pénétrer la « zone enclavée » les habitants, les commerçants ou les clients des hôtels, bars et librairies. Beaucoup de jeunes se font éconduire. « Les flics ont peur d'être infiltrés de l'intérieur », précise un habitué. Dans ce temple du savoir, même les professeurs n'ont pas droit de cité.
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Ouest-France du 28/03/06



Un mardi de mobilisation qui va être déterminant
Nouvelle démonstration de force des syndicats, ce mardi, contre le CPE. Villepin leur propose une rencontre mercredi. Non, répond la CFDT, sans retrait du CPE.
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EDITORIAL
Inacceptable violence

Lors des manifestations de ces dernières semaines, la violence n'a cessé de croître, montrant son absurdité, sa vilenie, sa lâcheté, sa cruauté. Des personnes ont été blessées. Des jeunes ont été volés, traînés à terre, roués de coups par d'autres jeunes. Des écoles et des universités ont été saccagées. Des magasins pillés. Des voitures brûlées...
Non, la violence n'est pas un moyen de se faire entendre. En démocratie, elle n'est pas légitime. Rien ne peut la justifier.[…] Des slogans écrits se répandent, banalisant ces actes inacceptables. Stupéfiant : les jeunes manifestants eux-mêmes, oubliant qu'ils en sont les premières victimes, crient « Nous sommes tous des casseurs. » Se rendent-ils compte qu'ils invitent ainsi les plus faibles à se lancer tête baissée dans l'impasse de la violence ? Il faut être bien lâche pour crier des insultes, jeter des pavés et des échelles de fer sur des personnes, et cela le visage caché !
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Le Monde daté du 29/03/06



La mobilisation contre le CPE atteint une ampleur inégalée
La mobilisation contre le contrat première embauche (CPE) faisait l'effet d'un raz-de-marée, mardi 28 mars. Environ 1 055 000 manifestants ont défilé dans toute la France, selon la police, plus de trois millions selon FO et la CGT. Quelques soient les chiffres, ils sont plus de deux fois supérieurs à ceux du samedi 18 mars. […]La grève affecte en particulier l'éducation nationale. Selon les chiffres du ministère, elle a été suivie par 36,83 % des enseignants des lycées d'enseignement général et technologique, et 42,72 % des enseignants du premier degré, soit des chiffres nettement plus importants que pour la grève du 7 mars, mais moins que pour la grève du 20 janvier 2005 contre la loi Fillon.
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Des heurts ont eu lieu en marge des défilés
Quelques-unes des nombreuses manifestations anti-CPE ont connu des heurts, mardi, d'une ampleur bien inférieure à ceux de jeudi. A Paris, ce jour là, deux mille casseurs avaient affronté la police, détruit des véhicules et des vitrines et agressé des jeunes manifestants, ainsi que des journalistes, à l'arrivée du défilé aux Invalides.[…] En banlieue parisienne, des jeunes et des policiers se sont, une nouvelle fois, affrontés à Savigny-sur-Orge dans la matinée. Dans le Val-de-Marne, vingt-sept interpellations ont eu lieu en marge de manifestations, selon une source policière. Seize jeunes ont été arrêtés au Kremlin-Bicêtre après avoir essayé de voler le tiroir-caisse d'une boulangerie. Des manifestants avaient auparavant dégradé un abribus et une cabine téléphonique près d'un lycée. Onze interpellations préventives ont eu lieu à Créteil, parmi une cinquantaine de lycéens qui, après avoir manifesté, se sont rendus dans un centre commercial sans causer de dégâts. L'un des jeunes arrêtés portait un marteau brise-glace.
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Villepin refuse de céder devant les manifestants, Sarkozy propose la suspension du CPE
Tandis que des centaines de milliers de personnes manifestaient à Paris et dans toute la France en faveur du retrait du contrat première embauche (CPE), le premier ministre a une nouvelle fois affiché sa détermination : "la République, ce n'est pas les préalables, ce n'est pas l'ultimatum", a déclaré le premier ministre lors des questions au gouvernement, à l'Assemblée, en allusion à la demande des syndicats de retirer le CPE. "Je leur ai proposé d'en discuter demain à Matignon, ils ont refusé la main tendue. Je leur renouvelle ici devant vous tous cette proposition", a déclaré le premier ministre. "S'ils veulent s'engager dans la voie du dialogue, s'ils veulent réduire la période des deux ans, un entretien à la rupture du contrat, j'y suis prêt", a-t-il affirmé.
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Journée de mobilisation contre le CPE : perturbations dans les transports et les écoles
Avec des milliers d'arrêts de travail et 135 manifestations attendus partout en France, la vague de mobilisation anti-CPE devrait se faire particulièrement sentir dans les transports et l'école, mardi 28 mars. Le point d'orgue de la journée de cette journée de mobilisation sera le défilé à Paris, qui démarrera à 14 h 30 place d'Italie pour rejoindre la place de la République.
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Revue de presse
"La France marche à reculons"

Les quotidiens étrangers peinent à comprendre pourquoi la France tarde tant à mener des réformes qui s'imposent. "Le pays marche à reculons vers l'avenir", ironise le Boston Globe. "Les Français refusent de se rendre à l'évidence", et d'affronter les défis qui sont les leurs, renchérit Robert J. Samuelson, chroniqueur au Washington Post. Le Temps de Genève, lui, dénonce "le divorce" grandissant "entre une rue qui condamne sans savoir et des milieux économiques qui expliquent sans convaincre". Comme beaucoup d'autres titres, il juge que la création du contrat de première embauche (CPE), certes mal expliquée, constituait un pas dans le bon sens
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Le mail source de malentendus
Vous avez envoyé un e-mail enjoué à vos collègues de travail, histoire de détendre l'atmosphère, et certains l'ont mal pris ? Celui que vous avez adressé à vos cousins pour organiser le déjeuner dominical a été compris de travers par la moitié d'entre eux ? Normal. En optant pour la messagerie électronique, vous avez pris le risque maximal de créer un malentendu, affirme une étude publiée par l'université de Chicago Graduate School of Business (Chicago GSB).
Vaut-il mieux recourir au bon vieux téléphone ? Avec la participation de plusieurs dizaines d'étudiants, Nicholas Epley, professeur assistant de science comportementale (Chicago), et Justin Kruger (université de New York) ont étudié la capacité réelle des personnes à communiquer des émotions et des intentions subtiles par ces deux voies. Ils ont aussi mesuré ce que ces personnes pensaient avoir transmis à leurs interlocuteurs. Leurs conclusions : nous sommes persuadés que la "couleur" de notre propos - sérieuse ou badine, triste ou coléreuse, irrespectueuse ou déférente - passe avec autant d'efficacité par e-mail que par téléphone. Alors que, dans les faits, nous sommes loin du compte.
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Le Nouvel Obs Permanent du 28/03/06


Gigantesque mobilisation
dans toute la France
La police a comptè pr1.000.000 personnes dans les rues, tandis que la CGT en revendique 2,7 millions (entre 92.000 et 700.000 à Paris).
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Les manifestants de banlieue sous surveillance 

Les lycéens et étudiants anti-CPE en provenance de la banlieue ouest de Paris se sont rendus dans la capitale sous escorte policière. 12 arrestations en Seine-Saint-Denis
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L’Express quotidien du 28/03/06


Entre 1 et 3 millions de manifestants
La participation à la journée d'action anti-CPE est beaucoup plus forte que le 18 mars. Selon la CGT, 3 millions de manifestants ont défilé à travers la France. Nouvelles scènes de violences, notamment à Paris, Rennes et Rouen
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Une sélection dans les dépêches du 28/03/06



"Sarko, nique ta mère": casseurs face aux forces de l'ordre à République
A quelques mètres de la statue de la République et sous les objectifs de nombreux cameramen perchés sur les toits, plusieurs centaines de casseurs défient les CRS aux cris de "Sarkozy, nique ta mère", mardi à Paris, après la manifestation contre le CPE.
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Paroles de "lascars" venus "niquer du keuf" en marge de la manif anti-CPE
A 16 ans, Ramms fait partie des dizaines de "lascars" et de "galériens", comme ils se désignent eux-mêmes, qui ont affronté les CRS mardi, en marge de l'immense manifestation parisienne contre le CPE. "C'est la foule qui gouverne", clame ce lycéen noir du 20e arrondissement, alors que les policiers reculent derrière leurs boucliers maculés de peinture.
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387 interpellations en France à 19H00, selon la police
Les forces de l'ordre avaient interpellé 387 personnes soupçonnées de s'être livrées mardi à des actes de violence en marge des manifestations anti-CPE, selon un bilan policier établi à 19H00.
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Fonction publique d'Etat: 30% de grévistes dans les ministères (officiel)
Près de 30% des agents de la fonction publique d'Etat ont fait grève mardi dans le cadre de la journée de mobilisation anti-CPE, a-t-on appris de source ministérielle."29,98% du personnel de la fonction publique d'Etat a fait grève mardi", a indiqué à l'AFP le ministère de la Fonction publique, citant des chiffres définitifs. Les taux de grévistes s'élèvent à 37,94% au ministère de l'Education nationale, 26,09% au ministère des Finances et 14,96% au ministère de l'Equipement.
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Raz-de-marée "historique" anti-CPE: entre 1 et 3 millions de manifestants
Entre 1 et 3 million de manifestants ont défilé toutes générations confondues partout en France mardi contre le CPE, dans des cortèges parfois émaillés d'incidents, un raz-de-marée sans précédent face auquel Dominique de Villepin est resté inébranlable.
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Avis de tempête pour Villepin, qui refuse toujours de lâcher sur le CPE
Malgré la déferlante anti-CPE mardi à travers la France et les déchirements au sein de l'UMP, Dominique de Villepin est apparu inébranlable dans sa volonté de mener à son terme la bataille du contrat première embauche.
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Rien vu...


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Pour en savoir plus




Le site de VousNousIls (Rubrique dépêches de l’éducation AFP)


Les dépêches AFP sur lesite Voila.fr



Le site Yahoo Actualités, rubrique éducation



La maison des enseignants



L’indispensable café pédagogique

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